Ressent-on toujours une carence en testostérone quand on est une femme ?
On ne ressent pas toujours une carence en testostérone quand on est une femme. Certaines femmes remarquent peu ou pas de symptômes, surtout si la carence s’installe progressivement. Chez d’autres, les symptômes ne deviennent perceptibles qu’après plusieurs semaines ou mois. Votre sensibilité individuelle aux variations hormonales joue un rôle important : certaines réagissent fortement à de petites fluctuations, alors que d’autres ne présentent des plaintes qu’en cas de baisse clairement marquée.
Certains facteurs augmentent le risque de baisse plus rapide ou plus importante, comme le stress prolongé, les maladies chroniques, la pratique intensive de sport ou des antécédents de burn-out ou de surmenage. Les végétariens et les végétaliens constituent également un groupe à risque, car ils consomment peu ou pas de produits d’origine animale. Ils reçoivent ainsi en général moins de zinc, de vitamine D, de cholestérol et d’acides gras oméga-3 par l’alimentation, autant de substances qui jouent un rôle dans la production ou l’équilibre de la testostérone. Pendant et après la ménopause, la testostérone baisse également souvent plus rapidement. Il est donc judicieux de tester votre testostérone à temps, surtout si vous avez plus de 35 ans et présentez des symptômes qui peuvent être d’origine hormonale.
La testostérone peut-elle aussi être trop élevée chez la femme ?
Oui, c’est possible. Un taux de testostérone élevé chez la femme se rencontre par exemple dans le SOPK (syndrome des ovaires polykystiques), une affection hormonale caractérisée par une ovulation irrégulière et la présence de multiples petits follicules dans les ovaires. Le SOPK s’accompagne souvent d’une augmentation de la production d’hormones masculines comme la testostérone. Cela peut être lié à une sensibilité réduite à l’insuline (l’hormone de la glycémie), qui incite les ovaires à produire davantage de testostérone. Cela peut entraîner des symptômes tels que l’acné, une pilosité excessive (hirsutisme), un cycle irrégulier ou une fertilité réduite. Lors d’un test, cela se traduit par une augmentation de la testostérone totale ou libre. Là aussi, il est important d’investiguer davantage la cause, éventuellement en concertation avec votre médecin.
Un bilan hormonal complet utilisé en cas de SOPK mesure notamment : l’AMH, la FSH, la LH, les œstrogènes, la progestérone, la testostérone et la prolactine. Vous obtenez ainsi une vue d’ensemble de votre équilibre hormonal.
Causes d’une carence en testostérone chez la femme
Une carence en testostérone chez la femme peut avoir plusieurs causes. Vous trouverez ci-dessous les facteurs physiques, hormonaux et liés au mode de vie les plus fréquents qui peuvent contribuer à un taux de testostérone bas chez la femme :
| Cause de la carence en testostérone chez la femme |
Explication |
| Vieillissement |
À partir d’environ 35 ans, la production naturelle de testostérone diminue, surtout au niveau des ovaires et des glandes surrénales. |
| Ménopause |
Pendant et après la ménopause, la production de plusieurs hormones baisse, y compris celle de la testostérone. |
| Stress prolongé et burn-out |
Un cortisol chroniquement élevé freine la production d’autres hormones et épuise les glandes surrénales. |
| Manque de sommeil |
Le manque de sommeil perturbe la régulation hormonale et réduit la production d’hormones sexuelles. |
| Contraception et médicaments |
La contraception hormonale et certains médicaments (tels que les antidépresseurs ou les corticostéroïdes) peuvent supprimer la production naturelle d’hormones. |
| Carences nutritionnelles ou alimentation pauvre en graisses |
Les acides gras essentiels, le cholestérol, le zinc, le magnésium et la DHEA sont nécessaires à la production hormonale. |
| Surentraînement / effort extrême |
Un entraînement intensif sans récupération augmente les hormones du stress, comme le cortisol, et réduit la testostérone. |
| Trop peu d’activité physique |
L’activité physique stimule la masse musculaire et la production d’hormones ; un manque de mouvement agit à l’inverse. |
| Maladie chronique / maladie auto-immune |
L’inflammation chronique, la fatigue et l’activation du système immunitaire perturbent la fonction des surrénales et la production d’hormones. |
| Carence en vitamine D |
La vitamine D soutient de nombreux processus hormonaux ; une carence peut survenir en cas d’exposition insuffisante au soleil. |
Carence en testostérone chez la femme due au vieillissement
Une cause fréquente de carence en testostérone est le vieillissement. À partir de 35 ans, la production de testostérone au niveau des ovaires et des glandes surrénales diminue progressivement. Il s’agit d’un processus normal, mais chez certaines femmes, cette baisse est plus rapide ou plus marquée, ce qui provoque des symptômes. Vous trouverez ci-dessous les valeurs normales de testostérone totale et libre chez la femme selon l’âge, ainsi que le risque de carence en testostérone :
Différence entre testostérone totale et testostérone libre
Dans votre sang, la plus grande partie de la testostérone est liée à des protéines telles que la SHBG (sex hormone-binding globulin). Seule la fraction non liée est appelée testostérone libre – c’est la forme active dans votre organisme. La testostérone totale comprend donc la fraction liée et la fraction libre. Chez la femme, c’est surtout la testostérone libre qui est importante, car de petites fluctuations peuvent déjà provoquer des symptômes. Une valeur totale normale ne reflète donc pas toujours la quantité de testostérone active réellement disponible. Il peut donc être utile de mesurer les deux.
Carence en testostérone liée aux changements hormonaux pendant la ménopause
Une autre cause bien connue de carence en testostérone est la ménopause. Pendant et après la ménopause, la production de plusieurs hormones diminue, dont celle de la testostérone. Cela est dû au fait que les ovaires cessent de fonctionner et que les glandes surrénales ne peuvent pas compenser entièrement cette baisse. Sur notre page consacrée aux symptômes de la ménopause, vous pouvez en savoir plus sur ces symptômes et les hormones impliquées.
Carence en testostérone due au stress prolongé ou au burn-out
Une carence en testostérone liée au stress prolongé est fréquente, par exemple en cas de burn-out ou de syndrome de fatigue chronique (SFC / EM). Le stress chronique augmente le taux de cortisol, ce qui a un effet inhibiteur sur la production des autres hormones. Les glandes surrénales finissent également par s’épuiser, ce qui limite davantage la production de testostérone. Vous vous demandez si votre cortisol est trop élevé ? Envisagez alors notre test du cortisol.
Manque de sommeil
Pendant le sommeil profond, différentes hormones sont produites et régulées. Le manque de sommeil perturbe cet équilibre et peut ainsi, de manière indirecte, entraîner une diminution de la production de testostérone. Consultez notre page sur le rythme de sommeil si vous souhaitez en savoir plus sur l’impact du sommeil sur le stress et vos hormones.
Utilisation de la contraception ou de certains médicaments
La contraception hormonale et certains médicaments (comme les antidépresseurs ou les corticostéroïdes) peuvent supprimer la production naturelle de testostérone. Si vous pensez en souffrir, contactez votre médecin généraliste afin de discuter d’un médicament alternatif ou d’une éventuelle réduction de la dose.
Carences nutritionnelles ou alimentation pauvre en graisses
Les graisses saines comme les oméga-3 (acides gras de poisson), le zinc, le magnésium et la DHEA sont indispensables à la production d’hormones, dont la testostérone. La DHEA (déhydroépiandrostérone) est un précurseur hormonal endogène, produit principalement par les glandes surrénales, qui sert de base aux hormones sexuelles comme la testostérone et les œstrogènes. Si vous consommez trop peu de ces nutriments – par exemple en raison d’une alimentation déséquilibrée, d’un régime très restrictif ou d’une alimentation pauvre en graisses sur le long terme – cela peut perturber la production hormonale. Les femmes qui consomment peu de produits d’origine animale ou de graisses (comme les végétariennes et les végétaliennes) présentent un risque plus élevé de carence en testostérone, car les acides gras essentiels et le cholestérol sont nécessaires comme base de la synthèse hormonale. Vous souhaitez en savoir plus sur la manière d’augmenter votre testostérone grâce à l’alimentation ? Consultez notre page dédiée à la façon de augmenter naturellement votre testostérone.
Surentraînement ou effort extrême
En cas de sport intensif prolongé (par exemple dans le cadre du sport de haut niveau), surtout sans récupération suffisante, l’organisme passe en mode stress. Cela augmente le cortisol et diminue la production d’hormones sexuelles, dont la testostérone. Nous proposons, spécialement pour les sportifs, une analyse sanguine qui mesure non seulement votre testostérone, mais aussi votre ferritine, le fer, l’HbA1c, le magnésium, ainsi que les vitamines B6 et B12.
Trop peu d’activité physique
Un manque de mouvement réduit également la masse musculaire et le métabolisme, ce qui a un impact négatif sur votre équilibre hormonal. Une activité physique régulière soutient la production naturelle de testostérone.
Maladies chroniques ou maladies auto-immunes
Les maladies qui sollicitent le système immunitaire peuvent perturber le fonctionnement des glandes surrénales ou provoquer des réactions inflammatoires, avec un impact négatif sur la production d’hormones. Parmi ces maladies, citons la polyarthrite rhumatoïde, la maladie cœliaque (intolérance au gluten), la thyroïdite de Hashimoto (hypothyroïdie d’origine auto-immune), le lupus (souvent associé lui aussi à une composante d’intolérance au gluten) et la maladie de Crohn. Les infections chroniques ou affections telles que la fibromyalgie et les syndromes de fatigue prolongée (par exemple le SFC/EM) peuvent également, via une perturbation du système nerveux et du système immunitaire, influer sur l’équilibre hormonal. Si vous souffrez de fatigue persistante, envisagez notre test fatigue pour mieux comprendre les causes possibles.
Carence en vitamine D
La vitamine D intervient dans la synthèse de nombreuses hormones, dont la testostérone. Une carence est fréquente chez les personnes qui sortent peu, mais aussi chez celles qui couvrent largement leur peau avec des vêtements, ont une peau foncée ou vivent dans des régions peu ensoleillées, notamment en automne et en hiver. Vous êtes souvent fatiguée ou vous voyez peu la lumière du jour ? La vitamine D peut jouer un rôle, mais il peut aussi exister d’autres causes. Envisagez dans ce cas le profil global XL complet. Dans ce profil, on mesure, en plus de la vitamine D, d’autres vitamines comme B6, B12 et l’acide folique, ainsi que le fer, la glycémie, le cholestérol, les marqueurs inflammatoires, la fonction hépatique et rénale et le fonctionnement de la thyroïde. Vous obtenez ainsi une vue d’ensemble de votre production d’énergie et de votre santé générale.
Comment savoir si vous manquez de testostérone ?
Si vous pensez souffrir d’une carence en testostérone en tant que femme, vous pouvez faire tester votre valeur de testostérone chez votre médecin généraliste ou via un test de laboratoire fiable comme Montestsanté. Le médecin peut demander une prise de sang en fonction de vos symptômes. Lors de ce type d’analyse, on commence généralement par mesurer la testostérone totale dans le sang. Parfois, cela suffit, mais chez la femme, c’est surtout la testostérone libre, la forme biologiquement active, qui donne souvent une image plus claire. C’est elle qui influe sur votre énergie, votre humeur, votre masse musculaire et votre libido.
En pratique, la testostérone n’est pas toujours mesurée systématiquement chez la femme. La testostérone libre reste particulièrement souvent sous-évaluée. Des symptômes tels que fatigue, baisse du libido, sautes d’humeur ou perte musculaire ne sont pas forcément associés d’emblée à un problème hormonal. Il en résulte que le test de carence en testostérone n’est parfois envisagé chez le médecin qu’à un stade tardif. De plus, une valeur totale normale peut être trompeuse si la testostérone libre, la fraction active dans votre organisme, est trop faible.
Vous vous reconnaissez dans ces symptômes, mais vous n’obtenez pas de réponse claire auprès de votre médecin ? Vous pouvez alors décider de tester vous-même votre valeur de testostérone via un laboratoire fiable comme Montestsanté. Vous pouvez y faire mesurer à la fois la testostérone totale et la testostérone libre, ainsi que des marqueurs complémentaires tels que la DHEA, le cortisol, la vitamine D, les oméga-3 ou le fer. Vous obtenez de cette manière une image plus complète de votre équilibre hormonal, de votre niveau d’énergie et de votre charge de stress.
Tester la valeur de la testostérone chez la femme
En cas de symptômes persistants comme la fatigue, les sautes d’humeur, la baisse du libido ou la perte de masse musculaire, les tests suivants peuvent aider à déterminer s’il existe un déséquilibre hormonal :
- Test de testostérone libre : ce test mesure la testostérone libre (biologiquement active) dans votre sang, c’est-à-dire la fraction qui agit directement sur votre niveau d’énergie, votre force musculaire et votre libido. Chez la femme, cette valeur offre souvent une meilleure image que la testostérone totale, car elles produisent naturellement beaucoup moins de testostérone que les hommes et un léger changement peut déjà avoir de grandes conséquences.
- Test de testostérone totale : ce test donne un aperçu de la quantité totale de testostérone dans votre sang, y compris la fraction liée qui n’est pas encore active. Il s’agit d’une valeur de base utile, notamment pour suivre l’évolution de votre équilibre hormonal dans le temps ou pour détecter des anomalies dans la production. Attention : une valeur totale normale n’exclut pas une carence, car la fraction libre (active) peut tout de même être trop basse. Il est donc recommandé de mesurer également la testostérone libre.
Tests complémentaires intéressants
- Test DHEA : la DHEA est un précurseur de la testostérone, produite principalement par les glandes surrénales. En cas de stress prolongé ou de burn-out, cette valeur peut diminuer, ce qui influe aussi sur votre taux de testostérone.
- Test du cortisol : le stress chronique augmente le taux de cortisol, ce qui peut freiner la production d’autres hormones (comme la testostérone). Ce test montre comment votre hormone du stress varie au cours de la journée.
- Test de carence en fer : une carence en fer peut provoquer fatigue, chute de cheveux et perturbation du métabolisme. Un apport suffisant en fer est important pour le transport de l’oxygène et la production d’énergie.
- Test sanguin oméga-3 : les acides gras oméga-3 jouent un rôle dans la signalisation hormonale et aident à réguler l’inflammation dans l’organisme. Une carence peut influer sur votre humeur, votre peau et votre cycle.
- Test vitamine D : la vitamine D est essentielle à la synthèse de nombreuses hormones, dont la testostérone. Les carences sont particulièrement fréquentes chez les femmes qui sortent peu (ou se couvrent beaucoup) ou qui ont une peau foncée.
Vous préférez une vue d’ensemble ?
Vous ne souhaitez pas tester des valeurs isolées, mais plutôt obtenir une vue d’ensemble de votre santé ? Optez alors pour l’un de nos forfaits complets :
- Prise de sang profil global XL : ce test complet mesure notamment la vitamine D, la vitamine B12, le fer, l’acide folique, les valeurs thyroïdiennes, le cholestérol et les marqueurs inflammatoires. Il est idéal en cas de fatigue ou de déséquilibre hormonal.
Composer vous-même votre test ?
Avec notre option Pick & Mix, vous composez vous-même un test entièrement adapté à vos symptômes et à vos besoins. Vous pouvez ainsi ajouter différents marqueurs que vous souhaitez mesurer, par exemple la vitamine D, le fer, les oméga-3 et la testostérone libre.
Que faire en cas de carence en testostérone ?
En cas de carence légère en testostérone, vous pouvez souvent déjà constater des améliorations grâce à des ajustements de votre mode de vie, de votre alimentation et de votre activité physique. Parfois, un soutien complémentaire via des compléments alimentaires est nécessaire, ou – en cas de carence sévère – par une hormonothérapie. Le tableau ci-dessous présente ce que vous pouvez faire en cas de carence en testostérone chez la femme :
| Alimentation et mode de vie |
Soutien médical ou complémentaire |
Alimentation Les graisses saines (dont les acides gras de poisson oméga-3), les protéines, le zinc, le magnésium et la vitamine D sont essentiels à la production hormonale. Mangez de façon variée et aussi peu transformée que possible. |
Compléments alimentaires En cas de carence, le zinc, le magnésium ou la DHEA (une hormone précurseur) peuvent soutenir l’équilibre hormonal. À utiliser uniquement en concertation avec un professionnel de santé. |
Sommeil Un sommeil profond et réparateur est important pour la production d’hormones sexuelles comme la testostérone. En général, 7 à 9 heures de sommeil sont recommandées. |
Plantes Des remèdes comme l’ashwagandha, le tribulus, la mucuna pruriens ou le shilajit sont parfois utilisés en cas de stress ou de problèmes de libido. Attention : des études scientifiques complémentaires sont nécessaires et les allégations santé relatives à ces plantes ne sont pas encore approuvées par la Commission européenne. |
Réduction du stress Le stress chronique augmente le cortisol, ce qui diminue la production de testostérone. La détente via la nature, la respiration ou la méditation aide à rétablir l’équilibre. |
Médicaments Par exemple, un traitement de la thyroïde ou d’autres thérapies si le déséquilibre hormonal est lié à une affection sous-jacente. |
Activité physique et sport L’entraînement de force augmente naturellement le taux de testostérone. Un cardio léger (comme la marche) soutient votre équilibre énergétique global. |
Hormonothérapie En cas de carence avérée sévère, un médecin peut prescrire une crème ou des patchs de testostérone, généralement via un endocrinologue ou un gynécologue. |
Vous souhaitez en savoir plus sur la manière d’augmenter votre testostérone de façon naturelle en tant que femme ? Consultez notre page dédiée à l’augmentation de la testostérone pour un aperçu des conseils naturels, de l’alimentation, des compléments et du mode de vie. Sur une autre page, vous pouvez également lire comment augmenter votre testostérone avec des compléments et des plantes. Il est préférable d’envisager cela seulement après avoir optimisé votre alimentation et votre mode de vie, car ces derniers ont un impact plus important.
Quand faire appel à un professionnel ?
Une carence légère en testostérone peut souvent être prise en charge par vous-même grâce à des ajustements de l’alimentation, de l’activité physique et de la gestion du stress. En complément, vous pouvez aussi augmenter votre testostérone avec des compléments et des plantes. Si vous continuez à éprouver des symptômes comme la fatigue, la tristesse, la perte de libido ou un manque d’énergie sur une période prolongée, il est conseillé de consulter votre médecin généraliste. En cas de suspicion de carence chronique en testostérone associée à un déséquilibre hormonal ou à d’autres problèmes – par exemple des symptômes liés à la ménopause, à la thyroïde ou aux glandes surrénales – un accompagnement professionnel est important. Si vos symptômes affectent votre travail, vos relations ou votre fonctionnement quotidien, prenez également contact avec votre médecin.
Votre médecin généraliste peut tester une carence en testostérone, effectuer un examen clinique ou vous adresser à un spécialiste des hormones. Si aucune cause claire n’est identifiée mais que vos symptômes persistent, vous pouvez poursuivre l’investigation avec un test à domicile simple d’accès pour voir ce qui est potentiellement déséquilibré dans votre organisme. Pensez, par exemple, à un test de testostérone totale, un test de testostérone libre, un test du cortisol ou un test de l’hormone DHEA. Ces tests vous donnent un meilleur aperçu de votre santé hormonale et vous aident à faire des choix ciblés.
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